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DOcumentation

 

Les réseaux sociaux

Arthur C. Brooks, chroniqueur au New York Times, voit les choses comme ceci : nous passons désormais, pour les plus atteints d'entre nous, « la moitié de notre temps à faire semblant d'être plus heureux que nous le sommes, et l'autre moitié à regarder comme les autres semblent l'être bien plus que nous ».

De plus en plus de personnes développent de la dépendance sur internet à différents sites. La perte des liens réels, la séparation, la solitude, l’insatisfaction dans le couple, des blessures d'estime de soi, font souffrir. Le besoin de consolation peut développer une fausse intimité relationnelle sur internet à travers ce que l’on ose appeler maintenant des réseaux sociaux ou de rencontres. Mais cette communication virtuelle et ces rencontres où l’autre n’est pas là, nous coupe du corporel et d’un échange avec le véritable visage de l’autre.  

Je suis ce que je crois

Changez vos pensées pour changez votre vie. Notre mental fonctionne avec des croyances sur nous-même, sur les autres, sur le monde, qui deviennent notre configuration de la vie. Ma psychothérapie va vous faire prendre conscience de vos zones erronées, de vos croyances limitantes et réductrices de votre puissance de vie, et comment vos souffrances sont liées à vos croyances. Ainsi vous pourrez apporter des solutions à votre vie.

"La solution du problème que tu vois dans ta vie, c'est une manière de vivre qui fasse disparaitre le problème. La pensée n'est pas extérieure à la vie, ce n'est pas un monde à part coupée du reste. Si les deux sont étroitement liées, il faut en conclure que changer de vie, c'est changer de pensée, mais aussi que changer de pensée c'est changer de vie. Entre les trajectoires de l'existence et celles de la réflexion, l'interaction est totale." 
— Ludwig Wittgenstein.

cybersexe et cyberdépendance

La dépendance à une consommation de fausse sexualité ou de fausse relation amicale est un détournement de nos êtres. Cela peut apporter dans un premier temps à un narcissisme défaillant un peu d'illusion de réconfort, mais comme notre véritable besoin n'est pas réellement satisfait, il ne peut y avoir qu'une surenchère de consommation, puis souvent une addiction. La surstimulation sexuelle s’installe, elle aussi, sur internet. Le web tire profit d'une hypersexualisation de la société et en fait commerce. Il s’est ainsi développé une surenchère de nouvelles normes de performance, de plaisirs, d’orgasmes, de pratiques, de confusion entre l’érotisme et la pornographie, et entraînant l'utilisation de l’autre et soi comme des objets de jouissance. Une sexualité épanouie est libre et singulière, elle appartient à chacun et chacun doit aller à sa découverte, elle s’éprouve dans la rencontre de la véritable présence de deux corps s’aimant. Elle ne peut se copier/coller sans développer des difficultés sexuelles, empêchant d’accéder à son véritable désir et son intimité. La commercialisation de nos vies sexuelles, nous met en injonction paradoxale entre notre être intérieur qui vit du véritable lien à l'amour et notre ego conditionné par les diktats d’une société consumériste et hypernarcissique où le corps est instrumentalisé. 

Utilisé à tort et à travers, le désir est pourtant l'énergie pure de vie

Limiter le désir à l'acquisition d'objets de représentation de plaisir, le réduire à la satisfaction de nos besoins, comme le cristalliser sur la sexualité, tout en étant des moyens de son expression, ne le révèlent pas suffisamment dans son ampleur et sa profondeur.Au-delà du manque et en deçà de nos satisfactions, notre désir peut être l'aiguillon de notre vie comme le fossoyeur de notre être. Une véritable psychothérapie permet à notre Désir, le retour à sa source vive créatrice de sens et sa libération du formatage des désirs prêt-à-porter que les grands fabulateurs nous vendent.